[M] Daniel Sharman - Quito
PUISSIEZ-VOUS MOURIR POUR VOTRE MAÎTRE.
Quito
alias Léonard Holmsen. ft. Daniel Sharman
La malice au bout des lèvres, il se délecte des faux semblants, entraînant avec ses belles paroles les âmes les plus fébriles.Il enjolive, il exagère, Quito, persuasion dans les pupilles, il sait comment convaincre les plus réticents. Éloquence sur les babines, il se dégage un je ne sais quoi qui ferait virer de bord un bon pratiquant. Mais il sait rester humble, il sait trouver sa place, la garder bien au chaud, pour ne plus s’en défaire. Alors il caresse dans le sens du poil, ambition cachée, pour ne plus finir comme il était. De ses grands yeux azur, tel un félin, il guette, il piste l'appât, l’opportunité, où il pourra se hisser, à défaut d’en faire tomber plus d’un.
Il y a aussi, cette pointe de sarcasme, me diriez-vous, elle n’est pas négligeable, car il aime en jouer, il aime la glisser dans ses flots, il aime faire rouler les orbites devant lui, alors il continue, il s’en amuse, inlassablement. Il y a une part d’attachement, qui s’en dégage, comme un chiot perdu, contrastant avec la prestance qu’il se doit de tenir pour le clan. Il est un paradoxe à lui seul, aisance en communauté, tout en aimant le silence de la solitude. Un certain enivrement pour les belles choses, les belles femmes, les beaux objets, Quito, il a une obsession constante pour la porte dorée.
Têtu et borné, canines aiguisées défendant les plates bandes, tel le lion des Monarques, emblème dont il se veut fier et orgueilleux. Impétueuse tempête, déferlant l’ouragan, c’est le genre de gars à ne pas accepter les remarques, le genre de gars rancunier et désobligeant quand les mots dépassent les propos. Oubliant, l’agneau d'antan, il devient loup, lion, il devient un homme en grand.
Il y a aussi, cette pointe de sarcasme, me diriez-vous, elle n’est pas négligeable, car il aime en jouer, il aime la glisser dans ses flots, il aime faire rouler les orbites devant lui, alors il continue, il s’en amuse, inlassablement. Il y a une part d’attachement, qui s’en dégage, comme un chiot perdu, contrastant avec la prestance qu’il se doit de tenir pour le clan. Il est un paradoxe à lui seul, aisance en communauté, tout en aimant le silence de la solitude. Un certain enivrement pour les belles choses, les belles femmes, les beaux objets, Quito, il a une obsession constante pour la porte dorée.
Têtu et borné, canines aiguisées défendant les plates bandes, tel le lion des Monarques, emblème dont il se veut fier et orgueilleux. Impétueuse tempête, déferlant l’ouragan, c’est le genre de gars à ne pas accepter les remarques, le genre de gars rancunier et désobligeant quand les mots dépassent les propos. Oubliant, l’agneau d'antan, il devient loup, lion, il devient un homme en grand.
Les nuances sont variantes, quand il s’adresse à une foule, c’est seulement un effleurement des consciences, les mots prenants places d’une importance certaine. Quand il est face à une seule personne, C’est au plus profond de son subconscient qu’il peut agir, si celle-ci a le coeur ouvert, si celle-ci, est en grande confiance. La flamme doit passer dans le regard, pour se faire, le contact est important, l'envoûtement des pupilles se fait dans la profondeur de l’oeillade.
Récoltant ce que l’on sème, Quito, est touché à chaque fois, perdant un peu plus de vision, parfois passagère, parfois constante.
Les majestueuses ailes d’un avion, grand comme des montagnes, pour les yeux d’un enfant, d’un bambin, aussi haut que sa valise. Ils partent, l’enfant sous le bras, mère aux larmes amères, fuyant des coups qu’elle croyait, encore hier, des caresses. Mais il ne le comprend pas, qui le pourrait à quatre ans ? La Norvège derrière lui, un passé houleux pour juste quelques années de vie, recommencer un petit quelque chose, sous la chaleur du sud, Espagne festive et chantante.
L’Anarchie s’empare des regards, les coeurs épris se perdent dans la cacophonie du désordre. Des airs de fin du monde, des airs de chaos dans la tête. Il n’y avait pas grand-chose, dans cette petite bourgade du sud de l’Espagne, la mère, faisait ce qu’elle pouvait, ailes protectrices enveloppant l’enfant de dix ans. Il se faisait dire qu’une zone de quarantaine n’était pas loin, à quelques centaines de kilomètres, dans l’ouest de Madrid. Alors, encore une fois, maigres bagages sous les bras, ils prirent la vieille 307 qui tenait encore sur ses quatre pneus usés. Bravant les ténèbres de l’extérieur, espoir d’atteindre le si attendu sanctuaire.
Ils ne sont jamais entrés. Ils n’y entreront jamais, bas peuple, immigrants, grappilleurs. Un jour d’hiver, alors que le froid commençait doucement à mordre les fines couvertures qui les protégeaient, le fléau l’emporta, il gagna cette bataille perdue. Alors, Léo, c’est seul qu’il continuera ce bout de chemin, triste vie qui se dessine devant lui. Il faut les éviter comme ils nous évitent, il faut serrer des coudes, et se faire une place, là où il n’y a plus rien, survit loin de rimer avec envie.
Une bouffée d’air frais, un peu plus apaisante à respirer. Elya, qu’elle se faisait appeler. Au regard épicé, mouvant cette chevelure de jais. Elle aussi, elle n’était pas née ici. La belle latina au sourire ravageur, il tomba, il tomba profondément dans son coeur. Alors, que Léo vivait de magouilles à droite, à gauche, traînant dans les quartiers les moins branchés, la rencontre fut frappante, envoutante. À ses pieds il tomba, le Casanova des coeurs, à ses pieds, il se plierait presque, pour la tenir à son bras, une nouvelle fois. Un nouvel espoir, une nouvelle flamme qui danse alors, renaissance de l’amour, qu’il ne pensait connaître un jour. Construire cette vie à deux, dans le monde délabré, l’envie naissante dans le bas ventre, l’envie de continuer quelque chose à ses côtés, Elya.
Quelque temps, qu’ils y pensent. Quelque temps, qu’ils y songent. Ils parlent de gènes, de contrer le fléau, de mieux respirer. Ils ne comprennent pas tout, mais rien qu’à cette idée, ils rêvent, songe dans les tourments, nuages dans les pensées. Les spots publicitaires promettent, vendent vérité gratuite, nouvelles vies, opportunités. Pangonium, le seul mot sur les babines, qui animent. Que reste-t-il ici bas ? Dans le tréfonds, où sang et misère règnent. Alors, ils se lancent, étoiles dans les iris, promesses d’une meilleure vie, à deux, elle et lui.
Sa main reste derrière lui. Elle lui promet de le suivre, juste quelques pas derrière, juste un regard en arrière, pour la voir s’effacer. Cette aventure, ils devaient la vivre à deux, c’était ensemble, et pas autrement. Brisures de verres qui hantent le coeur, larmes sèchent sur les joues trop lisses. Alors il entame, les phases et post-phases, les examens, les bilans, qui le conduiront là où il en est, maintenant. Tout en gardant, ce cratère au fond du ventre, trahison qu’il n’ose comprendre.
Ne pas revenir en arrière. Ne pas revivre les mêmes choses. Arborer un masque blanc, trouver la meilleure voix, ne penser qu’à soi. Quito, c’était sa vie à elle, Elya, pour ne jamais l’oublier, même si la rancoeur de l’abandon emplit les veines. Juste ça, juste une fois. Ce serait ce nom, qui comblerait le vide. Alors, il continue, tête haute, repensant à l’avant, ne voulant plus vivre cette vie, il s’en créerait une meilleure ici. C’est donc chez les Monarques, que l’évidence se fit. Prendre place, jouer les grands, puritains qu’il n’était pas. C’était attrayant, et tout aussi amusant.
Se faire une place, pupilles dilatées de plaisir. Il n’était plus ce qu’il était. Il a changé Quito, même si l’agneau au fond crie de prendre garde, il l’ignore, il s’en fou, pour rentrer dans le moule de Pangonium. Le parfait petit pion, qui avance sur le tableau de la Pangée. Il s’élève, tel l’oiseau blanc, au risque de se brûler le bout des plumes. C’est Orateur qu’il devient, dans l’espoir de continuer l’apogée, parfait soldat du laboratoire. Même si la raison, parfois, lui souffle de faire attention. Mais il s’en fou, encore une fois, il ne pense plus qu’à lui maintenant. Si toutefois, cette petite voix ne lui criait pas l’espoir de la revoir un jour.
Quito
clan des monarques
Shalotti
Daniel Sharman
HoodWink.
22/05/2020
187
Daniel Sharman
HoodWink.
22/05/2020
187
Je suis amoureuse de ce faceclaim
Et j'aime énormément le personnage que tu construits, on sent l'apogée et le déclin, l'espoir et le désespoir, ça me tue
Bienvenue par ici avec ce Monarque plus que prometteur
Et j'aime énormément le personnage que tu construits, on sent l'apogée et le déclin, l'espoir et le désespoir, ça me tue
Bienvenue par ici avec ce Monarque plus que prometteur
VARSOVIE
reine des exilés
SAMY.
Pompéi (blunt), YUMA (bellucci).
Natasha Lyonne.
myself.
16/05/2020
280
perdition ft. kyoto
le même soleil ft. vienne
tombeau des coeurs ft. alexandrie
as de coeur ft. carmarthen
chaos aortique ft. iasi
Pompéi (blunt), YUMA (bellucci).
Natasha Lyonne.
myself.
16/05/2020
280
perdition ft. kyoto
le même soleil ft. vienne
tombeau des coeurs ft. alexandrie
as de coeur ft. carmarthen
chaos aortique ft. iasi
Arf, Quito
Tu sais déjà ce que j'en pense, j'aime beaucoup ce perso et j'ai hâte de pouvoir créer un petit lien avec ce monarque
bienvenuue avec cette jolie bouille !
Tu sais déjà ce que j'en pense, j'aime beaucoup ce perso et j'ai hâte de pouvoir créer un petit lien avec ce monarque
bienvenuue avec cette jolie bouille !
Han merci les chatons ! J'espere que le reste va vous croquer sous la dent ! Ça va être un grand tiraillé des deux camps, hâte de créer les liens avec vous
Quito
clan des monarques
Shalotti
Daniel Sharman
HoodWink.
22/05/2020
187
Daniel Sharman
HoodWink.
22/05/2020
187
y a d'la poésie par ici, je dévore avec gourmandise
puis daniel, cette lyrique bouille, peter pan fendant les cieux
quito ça fait haribo, on a envie de grignoter
virtuose des mots, artiste de la diplomatie, monsieur doit rouler dans les bonnes paroles pour satisfaire les tympans
il est bien joli cet oiseau, il donne envie de longues discutions
puis daniel, cette lyrique bouille, peter pan fendant les cieux
quito ça fait haribo, on a envie de grignoter
virtuose des mots, artiste de la diplomatie, monsieur doit rouler dans les bonnes paroles pour satisfaire les tympans
il est bien joli cet oiseau, il donne envie de longues discutions
Daniel Sherman. Déjà. Oui. épousemwa
Puis ce début de fiche, on veut la suite olala
Puis ce début de fiche, on veut la suite olala
Nassau
clan des attentifs
mare stellas
Zoe Barnard
MORPHINE. | Sunken Anchor | måne, lilyyjamess, inkhcart
22/05/2020
92
Sweet child o' mine - ft. the bro
Mission : Porte de la Lune - ft. people
Zoe Barnard
MORPHINE. | Sunken Anchor | måne, lilyyjamess, inkhcart
22/05/2020
92
#27B9B4
Sweet child o' mine - ft. the bro
Mission : Porte de la Lune - ft. people
J'aime tes mâchoires voila.
Et j'aime encore plus ce début de fiche, hâte de lire la suite.
Bienvenue officielle de la maquerelle
Et j'aime encore plus ce début de fiche, hâte de lire la suite.
Bienvenue officielle de la maquerelle
félicitations !
te voilà officiellement validé
Eh bien eh bien ! Te voilà officiellement membre du forum, c'est un plaisir pour nous de te compter parmi nos personnages !
J'ai adoré ta fiche. J'ai mangé chaque ligne de cette histoire quelque peu sombre
La perte d'une mère, la trahison d'une femme (la vilaine), ça donne envie de câlinou
Comme je te l'ai déjà dit, j'adore le don, et j'adore la globalité du personnage, très cohérente, très poussée
Nous te laissons bien entendu avec les divers liens qui constituent la suite de ton aventure ! N'oublies pas d'allerte recenser , c'est important. Tu peux désormais aller créer ta fiche de liens pour développer ton réseau d'amis, mais aussi aller nous régaler dans la zone rp !
Merci d'avoir choisi Pangonium, en espérant que tu y passes une agréable aventure !
J'ai adoré ta fiche. J'ai mangé chaque ligne de cette histoire quelque peu sombre
La perte d'une mère, la trahison d'une femme (la vilaine), ça donne envie de câlinou
Comme je te l'ai déjà dit, j'adore le don, et j'adore la globalité du personnage, très cohérente, très poussée
Nous te laissons bien entendu avec les divers liens qui constituent la suite de ton aventure ! N'oublies pas d'aller
Merci d'avoir choisi Pangonium, en espérant que tu y passes une agréable aventure !
VARSOVIE
reine des exilés
SAMY.
Pompéi (blunt), YUMA (bellucci).
Natasha Lyonne.
myself.
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perdition ft. kyoto
le même soleil ft. vienne
tombeau des coeurs ft. alexandrie
as de coeur ft. carmarthen
chaos aortique ft. iasi
Pompéi (blunt), YUMA (bellucci).
Natasha Lyonne.
myself.
16/05/2020
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le même soleil ft. vienne
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as de coeur ft. carmarthen
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