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midnight wolves | QUITO

PUISSIEZ-VOUS MOURIR POUR VOTRE MAÎTRE.

QUITO x PANDORA
perhaps it's time to learn how to love again

Le jour se lève à peine sur la Pangée. Le ciel, encore bien couvert, semble pourtant annoncer une journée particulièrement radieuse. Pas à pas, la petite renarde s'avance vers la Porte du Soleil, ses pattes de charbon effleurant l'herbe humide de la rosée du matin. A ses côtés, le majestueux Noctus ne la quitte pas, portant sur son dos les vêtements de son humaine, dans une besace prévue à cet effet. Bien trop rapidement, ses pas l'emmènent jusqu'au chemin, à quelques mètres de l'immense porte brillant de mille feux. Il n'est pas encore arrivé. Que pense t-elle, stupide créature qui se rend ici chaque matin, dans l'espoir de croiser ce Monarque si différent des autres ? En dix ans au sein de la Pangée, Pandora a eut le temps de comprendre qu'il ne fallait pas s'en approcher de trop prêt. Qu'il fallait éviter ceux qui portent une couronne sur la tête, surtout lui qui en est le prince. Mais elle, princesse des exilés, elle qui pourtant est prête de toute son âme à vivre pour quitter cet endroit malfaisant, tendrait à lui faire quelque peu confiance. Du moins, lui apporter de l'intérêt. Après tout, il l'a vue se transformer, il y a quelques semaines. Quelle idiote. Prudence est mère de sûreté, mais elle n'a pas prêté assez attention aux alentours, ce jour là. Ils ont échangé quelques mots, les premiers certainement. Avant que Pandora ne reparte à toute allure.

Doucement le ciel s'éclaircit, mais l'ambiance reste sombre. Alors, prenant la peine de s'abriter légèrement, Pandora entame la transformation inverse. Le processus douloureux n'en reste pas moins rapide, avec les années d'entraînement. S'étirant longuement, la jeune femme entièrement nue passe une main dans sa crinière bouclée, en démêlant quelques nœuds avant d'enfiler le bas de ses vêtements. C'est au moment où elle passe sa tête dans son débardeur abîmé, qu'elle le remarque. Il est là, à quelques pas d'elle. Pinçant légèrement les lèvres, Pandora retire une serviette de la besace de Noctus, s'essuyant le visage avec avant de la plier et de la ranger. Une chemise foncée, et la voilà enfin habillée entièrement. Est-ce qu'il l'a vue se transformer ? Peut-être. Doucement, ses doigts viennent effleurer la fourrure de Noctus, comme pour le remercier avant de retirer la besace du dos de l'animal et de se la passer autour de la taille. Le chien s'éloigne alors un peu, sûrement pour s'abreuver, tandis que Pandora s'approche du monarque. Le couteau à sa ceinture ne la protégera sûrement pas contre cet homme, bien qu'elle sache se défendre. « Bonjour. » Et de ses yeux clairs, elle le toise, n'étant maintenant plus qu'à deux pas de cet homme qui n'était qu'un inconnu, il y a encore quelques semaines.
PANDORA
PANDORA
clan des exilés
foxblida.
fering.
alycia debnam-carey.
awona.
25/05/2020
31
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❖midnight-wolves
L'étreinte jalouse et le spasme obsesseur ne valent pas un long baiser.
"Paul Verlaine"
Echappatoire, ombre timide dans l’aurore de la Pangée. Il est tôt, encore trop tôt pour l’orateur de Pangonium. Mais il n’a pas dormi, remous et tourments dans la nuit, l’oeil vicieux de la lune guettant la moindre de ses pensées. Il y avait cette attirance, au-delà des barrières, bien plus qu’une simple porte, bien plus qu’un soleil dessiné, il y avait quelqu’un, là, à l’extérieur, qui semait tachycardie dans les veines.
Un coup d’eau claire sur le visage, dispersant la sueur de cette nuit, enfiler quelque chose sur le dos, de confortable pour une longue marche, et filer, rasant les murs à la vue de personne. Un besoin de solitude, tiraillé entre la curiosité animale de cette gamine effarouchée. Alors, capuche sur la tête, brouillard sur sa silhouette, il quitta l’enceinte des monarques, en silence dans l’aube naissante.

Direction le Sud, mené par le rythme de ses pas. Sans réflexion, il les suit, il les laisse le guider, battant l’herbe fraîche à chacune de ses enjambées.  C’est un besoin de liberté, d’exil, sortir de ce cocon blanc qui hante ses journées. Peut-être t’apercevoir, encore une fois, une deuxième fois. Si la coïncidence pouvait être belle, alors elle le serait encore plus s’il provoquait le destin d’un infime coup de pouce. Besoin de respirer, libération, qu’il avait trouvée dans tes pupilles, fraîcheur, et à la fois, crainte grandissante.

Tu apparus enfin, dans son champ de vision. Frêle de ta transformation. A moitié découverte, laissant ta peau dorer au soleil levant. Sauvage et si fragile à la fois. Il était encore perdu, de votre dernière rencontre. Il ne savait comment t’appréhender, comment te considérer. Une ennemie ? Un pétale fraichement éclos ? Un rosier épineux, mais si doux à la fois. Alors, les pupilles tremblantes, peu sûr de lui, il s'avança à ta rencontre, comme la dernière fois, comme l’agneau égaré qu’il gardait enfoui au fond de lui.

“Bonjour Pandora. J'espérais te croiser ici. ”

Il ne savait vraiment pourquoi. Mais il savait qu’avec toi le ciel était plus bleu, qu’en ta compagnie, sa solitude devenait supportable. Laisser de côté ces histoires de clans, et d’alliances. Oublier, un moment, les divisions, les rancoeurs et les rancunes. Te découvrir un peu plus, pas la princesse des exilés, non juste toi, la sauvage aux babines retroussées.

“As-tu faim, aujourd’hui?”

Approche maladroite, il sortit une nouvelle barre chocolatée. Encore une, même si son but n’étant pas de t’appâter. Il voulait, juste, tendre encore fois cette main, à ton encontre. Il voulait juste te montrer encore une fois, que ce n’était pas juste un de ces monarques, à la réputation hostile qui leur était propre.

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Quito
Quito
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Shalotti
Daniel Sharman
HoodWink.
22/05/2020
187
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QUITO x PANDORA
perhaps it's time to learn how to love again

Les yeux brillant de cette lueur sauvage, Pandora ne pu s’empêcher de jeter un coup d’œil au ciel une fois sa transformation achevée. Lentement, le soleil prenait de plus en plus place dans cette étendue bleue qu’est le ciel. Un court instant, la pensée que ce pu être artifice traverse l’esprit de la jeune exilée. Peut-être se trouvent-ils dans un immense dôme que rien ne peut traverser. Un fin soupir franchit ses lèvres, tandis qu’elle terminait d’enfiler son débardeur, puis la chemise qu’elle mettait par dessus. Ses vêtements n’étaient pas brillant de propreté, le tissu était rêche, délavé. Mais ça restait confortable et c’était suffisant pour la princesse qu’elle était. Désormais habillée, ses longs cheveux bruns tombant en cascade sur ses épaules, il ne lui faut que quelques secondes pour remarquer la présence de Quito. Ce monarque pas comme les autres, celui qu’elle retrouve ici si souvent. Avec ses yeux bleus comme l’océan, et ses boucles rebelles. Elle ne peut pas se laisser aller aux quelques sentiments que lui apporte Quito. C’est un jeu dangereux, pour lequel elle a déjà eu sa chance. Le cœur meurtri par un amour parti bien trop tôt.

Ses pas l’emmènent doucement auprès du Monarque, et de ses yeux clairs elle le dévisage sans gêne. Le regard fier, hautain, redressée de toute sa hauteur Pandora observe le visage de celui qu’elle côtoie en douceur depuis quelques temps. “ J'commence à croire que tu ne viens ici plus qu'pour me voir. ” Penchant légèrement la tête sur le côté, Pandora se pose alors la question de pourquoi elle vient ici. Certainement pour les mêmes raisons. Elle pourrait aller rôder ailleurs, mais non, elle vient ici tous les matins. Sûrement dans l’espoir de le croiser. S’humectant un instant les lèvres, la jeune femme toise alors la barre de chocolat qu’il tire de sa poche. Son ventre grogne en réponse à cette vue appétissante. Alors, doucement, la brune tend la main pour attraper le chocolat, franchissant de son pied droit la dernière barrière qui les sépare. Elle est maintenant tout prêt de Quito. “ Tu devrais savoir que nous avons toujours faim. Mais merci, d'penser à moi. ” Ce pourrait être l’esquisse d’un sourire, qui se dessine sur ses lèvres rosées. Défaisant lentement le papier de la barre chocolatée, Pandore en casse un morceau entre ses doigts avant de le renifler, longuement; L’odeur est délicieuse. Elle le prend alors entre ses dents, mangeant un premier morceau non sans quitter le monarque de ses yeux d’émeraude. “ T'en veux aussi ? ”
PANDORA
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L'étreinte jalouse et le spasme obsesseur ne valent pas un long baiser.
"Paul Verlaine"

L’oiseau égaré. Dans ce pyjama trop grand, ce corps d’adulte, alors qu’il s’y sent beaucoup trop enfant dedans. Depuis Elya, tout avait changé, chez lui. Coeur meurtri, qui se pensait solide, mais était trop volatile. Il était du genre, à se perdre entre les jambes des catins sans y réfléchir, sans se rendre compte de l’impact que cela pourrait provoquer dans son inconscient. Il était du genre, à éprouver moult sentiments, qu’il pensait profond, qui n’était finalement qu’une mascarade. Se pensant romantique, se pensant sincère, cherchant l’infime flamme pour qu’elle renaisse. Mais c’était toujours trop, toujours pas assez. C’était dans l’abus, c’était caricatural. Il ne s’en était jamais rendu compte, finalement. Puis, il y eu toi. Tes yeux, tes pupilles, qui le dévisageaient. Ce battement de coeur qui résonnait un peu trop fort. Peut-être, que cette fois, il ne tomberait pas dans son propre démon, dans ce piège qu’il se tend à lui même depuis son arrivée ? Peut-être que cette fois, ce serait différent…

Tu t’approches, resserrant un peu plus l’espace entre lui et toi. Cassant cette barrière de l’inconnu, celle qu’il n’osait franchir. Planté là, les deux talons ancrés au sol, il ne sait quoi faire Quito. Il en perdrait presque cette prestance légendaire, ce bagout qui lui permettait de s’adapter à chaque situation. Finalement, tu avais un impact dessus, je ne saurais dire comment, je ne saurais expliquer pourquoi. Mais c’était le cas. Ce regard haut, comme si t’aurais pu affronter les pires ténèbres de la Pangée, le port de tête fière, tu ne te démontes pas, et ça l’impressionne. Il contemple ton encolure Quito, il enlace la force que tu dégages, et à tes mots, un sourire se dessine. Oui, tu as raison. Même s’il n’oserait te l’avouer une seule seconde, il tient quand même à sa fierté.

“Je pourrais te renvoyer le compliment. Ou peut-être, as-tu, toi aussi, développé une passion pour cette gigantesque porte ?”

Son pouce pointa le soleil dans son dos, son regard ricocha dans le tien, provocation sur le bout de la langue. Il voulait te charrier, il voulait te faire sortir de ta zone de confort, juste un peu.

Une coïncidence, une fois, d’accord, mais deux ? Non, bien sûr que non. Il le savait, il s’en doutait. D’un coup, il s’en rendit compte, que cette attirance naissante, que cette fascination interdite, était peut-être partagée, qu’il n’était pas seul fautif dans cette histoire qui n’en était pas encore une.

Tu pris le chocolat, savoureux, doucement, comme une nouvelle découverte, pendant que lui, te regardait, attendrit. Le regard d’enfant, dont les étoiles brillent au clair de lune, le coeur palpitant, dont la chamade joue des tours. Volontaire, tu lui en proposes, et le sourire ne s’efface pas. D’un geste de main, il refuse ton invitation, la voix légère, assez rauque d’une virilité naturelle, mais légère de ta présence, et de cette si petite chose, qui pouvait faire ton bonheur.

“T’es mignonne. Mais j’ai déjà pris mon petit-déjeuner.”

Comme l’on donne à manger à un loup affamé, comme l’on offre sa part à un petit animal abandonné. Il avait cette sensation Quito, ce n’était, certes, pas grand chose, mais d’un côté, il avait l’impression d’aider, il avait cette impression de pouvoir faire quelque chose pour toi, de par son petit geste. Quelques pas, flâner sur les environs, pour te laisser savourer. Il aurait voulu te dire que si t’avais voulu rester silencieuse pendant des heures, il aurait pu te regarder faire pendant des heures. Profiter de ce silence entre toi, et lui, qui pour une fois, ne le dérangeait pas. Ce malaise des débutants, qui dans les relations, rend les choses ternes, gênantes. Mais là, il ne la voyait pas, cette inconvenance.

Il s’assit alors, l’herbe fraîche sous les mains, nature chantante autour de vous. Un instant, coupé du monde, coupé de la Pangée. Il n’y avait que toi, cette porte, et lui. Bulle qu’il n’aurait voulu percer. Un moment, il se questionnait, était-ce correct ? Tu étais une exilée après tout. Il y avait Florence, après tout. Même si leur relation n’était pas officielle, même s’il n’y avait rien d’écrit, était-ce correct vis-à-vis d’elle ? Même s’il ne se passait rien, même s’il ne te connaissait pas encore, est-ce que cette sensation à ton égard, était suffisante pour se poser ce genre de question ?

Effacer ces pensées, revenir à la réalité, à toi, à tes babines retroussées. Il évita de planter son regard dans le tien, ne cherchant pas à faire luire les pupilles en or, il voulait juste la vérité, juste que tu déverses ta sincérité.

“Pandora. Pourquoi es-tu ici ? Que cherches-tu exactement ?”

La tête pencha en arrière, le regard détaillant le ciel. Si tu avais voulu lui expliquer pendant des heures, il t’aurait alors, écouté pendant des heures.


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QUITO x PANDORA
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Rendez-vous silencieux, instinctif. Tous les matins, elle termine sa nuit auprès de la Porte du Soleil, après avoir longuement rôdé dans sa peau de renard. Les yeux parfois cernés de trop de nuits sans sommeil, la jeune femme dort peu, mange peu comme l’indique sa silhouette maigre. Sous ses vêtements, on lui dessine les côtes et ses bras mince ne sont que le reflet de la vie d’une exilée. Et encore, qu’elle ne se plaigne pas. Elle est après tout la princesse de ce clan qu’elle a choisit, il y a déjà bientôt dix ans, le cœur meurtri d’un amour parti trop tôt. Elle ne peut se résoudre à aimer de nouveau, préférant parfois abandonner son corps dans des bras sauvages, choisis avec attention. Rares sont ceux ayant pu partager les draps de la renarde, nombreux sont ceux ayant essuyé ses refuts. Elle n’est pas une fille de joie, ô rôdeuse de la rébellion qui s’installe en Pangée. La fierté, la froideur sont ancrés dans son visage, que seul le Monarque semble parvenir à dérider. Pourtant, elle ne peut s’y laisser aller. Les rumeurs sur les Monarques sont probablement vraies, et Quito n’en fait sûrement pas exception.

Doucement, Pandora franchit le dernier espace entre eux d’eux, prenant la barre de chocolat avec une délicatesse infinie. Cependant, c’est en quelques secondes qu’elle termine entre ses dents, le chocolat semblant lui redonner un minimum d’énergie. C’est doux, sucré, délicieux pour ses papilles trop souvent délaissées. “ Non, la porte ne m’intéresse guère. Enfin, elle est sûrement la pour une raison. Pourquoi celle-ci, d’ailleurs, et pas une autre ? ” La fascination du monarque pour la Porte du Soleil intrigue la jeune exilée, qui depuis déjà de trop longues années attend simplement son heure dans ces terres où elle ne trouve pas sa place. La barre de chocolat terminée suite au refus du Monarque, Pandora écrase le papier entre ses doigts agiles mais abîmés, l’enfournant dans la poche de sa chemise. Il n’est pas question de salir la nature de la Pangée, même si elle est probablement artificielle. Elle imagine à quoi pourrait ressembler le déjeuner d’un monarque, et son ventre grogne légèrement en signe de protestation. Il y a bien longtemps qu’elle n’a pas eut un repas décent, mais c’est ainsi. Le train de vie ne la dérange pas, plus du moins.

Alors qu’il s’assoit dans l’herbe, Noctus en profite pour doucement s’approcher dans le dos du Monarque, le reniflant une fraction de seconde avant de repartir à ses occupations. Haussant légèrement un sourcil, Pandora suit l’animal du regard avant de finalement se laisser choir aux côtés de l’homme. Sans trop savoir pourquoi, elle parvient à lui faire confiance, légèrement, peut-être un tout petit peu. Assez pour baisser sa garde un instant, se laisser glisser en arrière dans l’herbe, ses longs cheveux s’étalant autour de sa tête tel un soleil. Elle scrute alors le ciel, Pandora, écoutant leurs respirations communes, elle réfléchit un court instant à sa question. “ Ici, en Pangée ? Ou à cette porte aux aurores ? ” La question était peut-être double, peut-être souhaitait-il en savoir plus sur la renarde. Que lui dire, alors ?
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